La liberté pour les premiers,"l'héroïsme" pour les seconds, l'obscurité pour les derniers:
Entre et les guérilleros et le gouvernement Uribe se sont greffés d’autres invités politiques à la recherche de gestes forts, dont les présidents français et vénézuélien, Nicolas Sarkozy et Hugo Chavez. En ’93, le premier avait déjà fait parler de lui en négociant avec Human Bomb, un preneur d’otages dans une école de Neuilly, ville dont il était le maire. Il fera aussi libérer avec l’aide de son ex-femme les infirmières bulgares incarcérées en Lybie. Bien qu’il multipliera les tentatives de dialogue avec les FARCs et avec Alvaro Uribe, c’est finalement Hugo Chavez qui s’appropriera cette victoire en déclarant solennellement avoir « souhaité la bienvenue à la vie » aux deux femmes.
Même s’il on ne peut pas reprocher la libération de deux otages à qui que ce soit, il est utile de rappeler que des centaines d’autres personnes attendent, certaines très médiatisées (comme Ingrid Betancourt) et d’autres dans l’anonymat le plus complet.
Aussi, d’aucuns prétendent que si l’affaire avait été réglé plus « intimement » entre le gouvernement colombien et les rebelles, tout aurait été plus simple et rapide, en partant du principe que plus le problème attire l’attention, plus il est important et les pressions et autres exigences deviennent titanesques.
Cependant, seule la suite des événements pourra trancher entre la froideur et la prudence uribesque et la politique internationale show à la sauce Sarko/Chavez.
Par Maxime COUNET (Co-coordinateur Ecolo-J Liège)Localisation: Liège-République Libre d'Outremeuse
Commentaires
oui ces vrai il pourrai la laissè partir aux lieu de la laissè mourir comme ca ces ridicul frenhmen