Chaque année, la ville de Liège offre le temps d'un week-end le parc de la boverie à toute une série d'associations de tous domaines... Cette année ecolo j Liège y tiendra un stand !
N'hésitez pas à passer nous voir, ou mieux, nous aider et tenir le stand avec nous (dans ce cas, veuillez m'indiquer vos disponibilités : maxime.counet@ecoloj.be ).
Année terminée, seconde sess' passée, défense de mémoire aussi, diverses découvertes, révélations, bouleversements, il est temps de se retrouver au 48 pour la prochaine AG qui aura lieu le mercredi 10 septembre à 18h30 en Hors-Château 48!
On y abordera les points suivants :
- Retour Bonn (voir article précédant)
- Retour Retrouvailles (voir article suivant)
- Souper Spaghetti Huy/Waremme
- 10 km de Liège
- Bus de nuit à Liège
- Présentation équipe(s) de coordination 2008/2009 (aussi, si vous désirez présenter une équipe, n'hésitez pas à le faire en me contactant maxime.counet@ecoloj.be )
Au plaisir de vous y voir nombreux!
EcoloJ participe les 5, 6 et 7 septembre à un week-end de rencontre entre EcoloJ, les
DWARS et les jeunes verts allemands à Bonn.
Il s'agit d'un week-end d'ateliers, de conférences et de visites, axé sur le thème de l'Europe et plus particulièrement de la migration en Europe. Il y aura plusieurs intervenants (votre serviteur pour l'aspect institutionnel, un député allemand et un représentant d'une ONG), ainsi qu'une visite de la ville, une action devant l'ancien parlement et une visite guidée de la House of History (spécialement réalisée à notre intention sur le thème de la migration, en Allemagne cette fois).
Ce week-end s'inscrit dans une dynamique plus large de rencontres et d'actions communes entre jeunesses politiques vertes de l'Euregio (élargie). Il avait déjà été organisé l'année passée à Maastricht entre Allemands et Hollandais, et Liège est donc préssenti pour l'organiser l'année prochaine. Ce week-end pourrait s'inscrire également dans le raprochement entre Ecolo
et les Verts allemands et hollandais, et dans la coordination future de la campagne européenne.
Vous êtes cordialement invités à venir, la participation est gratuite (logement, couvert et ateliers sont offerts), sauf une contribution de 10 euros pour le transport. Il suffit de me transmettre vos coordonnées (nom, date de naissance, adresse, num de téléphone et e-mail), mais les places sont limitées à 10 (et les inscriptions doivent être rentrées pour le 22, donc c'est bientôt).
Pour renseignements et inscription :
Olivier Biérin
O486399884
True Religion Outlet le 16-01-2012 à 01:07:41 # (site)
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Le Pouvoir d’achat,
Ce mot est sur toutes les bouches, comme s’il avait toujours fait partie de notre vocabulaire de base. Pourtant il n’a fait son apparition que très récemment dans le langage familier. Rendu opportunément populaire par des politiques soucieux de paraître proches des intérêts des gens en ces temps difficiles, ce concept nous vient en fait de la finance.
Il est la contraction de deux mots assez basics de la langue française :
En gros le pouvoir d’achat est donc la propension plus ou moins grande d’un individu à parvenir à ses fins par l’unique moyen de l’argent. Dans une société comme la nôtre régie de plus en plus exclusivement par les lois de la finance, cela semble en effet la réponse la plus cohérente pour rencontrer les besoins d’une population que de lui promettre une augmentation de ses moyens sur la seule échelle de référence commune à tous : celle de l’argent.
Toutefois, quand bien même pareille promesse pourrait être tenue, cette hypothèse ne tient la route que si l’on se place du point de vue de l’individu isolé mais pas de celui d’une société dans son ensemble. En effet, si dans un système fermé (ex : la planète, les ressources énergétiques mondiales, un marché libéralisé et mondialisé) « rien ne se perd, rien ne se créer, tout se transforme ».
Il n’y a que deux cas de figure possible :
La croyance selon laquelle l’augmentation du pouvoir d’achat peut régler nos problèmes n’est donc qu’une chimère rendu possible par l’ignorance de chacun de ses adeptes de l’existence de ses voisins et du contexte dans lequel ils évoluent.
En outre, si on observe un peu les raisons de la baisse du pouvoir d’achat, on se rend compte qu’elles sont toutes directement et indirectement liée à la problématique de l’énergie à travers l’écart grandissant entre la consommation de pétrole et l’épuisement des réserves (voiture, chauffage, extraction et transport des matières premières, coût de production, etc…). Le pétrole est une ressource finie non renouvelable à l’échelle du temps que nous mettons à le consommer. Sans changer notre mode de vie, soit une partie des individus seulement continue d’en profiter au détriment des autres, soit tout le monde souffre de sa raréfaction. La situation actuelle étant un mixe des deux situations. Il existe bien d’autres formes d’énergie, mais celles-ci coûtent plus cher à exploiter et doivent encore être développées.
Mais le pétrole n’est que la pointe émergée de l’iceberg. Dans la foulée, bien d’autres richesses mêmes renouvelables de notre planète sont en voie de raréfaction. L’idée selon laquelle la solution aux maux de notre société viendra de l’augmentation individuelle de notre aptitude à nous approprier toujours plus de richesses matérielles paraît dès lors caduque.
Nul ne peut pourtant ignorer le nombre croissant de personnes ayant des problèmes à nouer les deux bouts. Les situations délicates voir dramatiques se multiplient chez nous mais aussi ailleurs.
Toutefois, l’augmentation du pouvoir économique individuel par la voie de cadeaux ou de ristournes des états (qui n’ont en définitive aucun pouvoir sur les courts des matières premières) ne serait aucunement une solution viable.
Si on parvient au bonheur et à l’épanouissement d’une société par la croissance, la seule autre possibilité passe par un changement du système de valeur. En effet, en même temps qu’une gestion économe et stable des ressources matérielles, pour continuer d’avoir un bilan positif, il faudra trouver de la croissance ailleurs. Rendre sa de sa valeur aux richesses humaines du cœur et de l’esprit ne coûte rien, la conscience de l’homme est une ressource inépuisable et non finie.
Il est plus que temps de mettre en place des politiques pour que les individus pensent en société plutôt que de faire penser les sociétés de manière individualiste.
Par: Olivier DEWISPELAERE (Membre Ecolo-J Liège)Localisation: Liège-Centre Avroy
Beaucoup de choses nous révoltent, pourtant, nous croyons que les choses peuvent aller mieux demain. Et pour cela, nous misons sur une action ici et maintenant!
Nous n'avons pas attendu aujourd'hui pour le faire. Des luttes étudiantes contre le processus de Bologne au combat pour la reconnaissance du mariage homosexuel; des marches pour l'emploi des jeunes au mouvement altermondialiste nous étions dans la rue et aux urnes pour une humanité plus juste et solidaire en terres liégeoises.
Nous avons envie de participer pleinement aux changements dont notre société a besoin. Pour nous, la solidarité ça nous parle et nous sommes nombreux à nous engager dans des actions solidaires à l'échelle locale ou internationale; dans des associations humanitaires ou de soutien scolaire, dans les quartiers ou dans la promotion du commerce équitable, dans nos Facs et nos Ecoles secondaires, sur nos lieux de travail que l'on soit Liégeois de souche, de passage ou d'adoption.
Nous, on vote, car ne pas utiliser son droit de vote ou se replier dans l'apathie et le fatalisme, c'est prendre le risque de le voir dévoyé. On débat, on s'engage, on prend des initiatives, on se mobilise.
Nous croyons en la politique. Pourtant, beaucoup de choses sont là pour nous faire douter de l'action des partis traditionnels:
La semaine dernière, L’Auberge de Jeunesse Georges Simenon fêtait le 75ème anniversaire du mouvement en Belgique. 75 ans après l’épopée des Auberges de Jeunesse et des premiers congés payés (Si bien dépeints dans les oeuvres de Fernand Léger: Cf. ci-contre “Loisirs populaires”), l’occasion était belle de revenir -en cette veille de congés estivaux sur fond de baisse du pouvoir d’achat- sur le sens que nous donnons encore aujourd’hui aux vacances et au tourisme...
En 75 ans les choses ont bien changé, avec 300 millions de touristes dans les années 80, 900 millions en 2007 et près d’un milliard annoncés pour 2010 … le secteur touristique, dont l’essor demeure permanent, est aujourd’hui l’une des plus grande industrie du monde. Par an, 15 000 avions sont affrétés pour déplacer les touristes à travers le monde selon l’Organisation mondiale du tourisme (OMT), 40 000 avions seront nécessaires d’ici à trente ans. Le tourisme de masse n’a sans doute jamais aussi bien porté son nom. Toutefois, même si le tourisme vit une sorte d’apogée, soulignons que quatre Belges sur dix ne partiront pas en vacances cette année…
Des loisirs populaires de l’été 36 au all-inclusive consumériste des années 2000
L’accès aux vacances qui était perçu jusqu’il y a peu encore comme une avancée sociale majeure issue du mouvement ouvrier -Via les congés payés, la réduction du temps de travail, l’augmentation du niveau de vie et de l’accès aux loisirs pour tous- est en passe de se transformer en une désillusion sociale et environnementale.
A terme, en effet, l’accroissement du nombre de touristes entraînera de facto une hausse de la demande en énergie, eau et ressources naturelles. Ce constat est particulièrement alarmant dans les pays où les infrastructures sont défaillantes. « Douches, bains, piscines et arrosage des pelouses des hôtels ponctionnent souvent lourdement les réserves d’eau locales, alors que les habitants en manquent pour leur usage personnel ou pour l’irrigation », relève la journaliste Béatrice Dehais, citée par le hors-série «Le Tourisme autrement » d’Alternatives Economiques. Et de poursuivre : « L’implantation d’activités touristiques modifie également l’équilibre du milieu naturel. Les prélèvements et les rejets des touristes sur un site influent sur la qualité des eaux. L’érosion du littoral est devenue critique dans de nombreux pays (Tunisie, Inde, Philippines). Sans Encore, selon le programme des Nations Unies pour l’Environnement (PNUE), les 3/4 des dunes du litoral méditerranéen ont disparu en raison de l’urbanisation touristique. Autant d’atteintes aggravées par une fréquentation concentrée dans le temps et l’espace. Sans oublier les bouleversements sociaux et culturels que le flot toujours plus dense de vacanciers occasionne.
Parcourir la terre et la protéger...Forces et difficultés de l’écotourisme
Devant une telle situation, différents acteurs nationaux et internationaux, producteurs et consommateurs de tourisme, ont commencé à envisager des modes alternatifs au tourisme de masse. Sous le terme générique de « tourisme responsable », plusieurs courants, souvent d’essence associative, sont nés au cours des dernières décennies tels, pour ne citer qu’eux, le tourisme vert, le tourisme équitable et solidaire, le tourisme social, le tourisme durable, le tourisme éthique et l’écotourisme.
L’écotourisme revêt des formes diverses puisqu’il recouvre les activités de loisirs et touristiques dont l’objectif est d’être le plus possible respectueuses de l’environnement : cadre naturel, historique et humain. Ce dernier, qui dans son esprit est proche du tourisme durable, favorise la recherche du contact avec la nature, les paysages ou des espèces remarquables, tout en respectant les écosystèmes parfois même en contribuant à les restaurer. L’activité écotouristique comporte, le plus souvent, un volet d’éducation à la préservation de l’environnement et aide à faire prendre conscience de la nécessité de protéger le capital naturel et le capital culturel. Il se donne aussi pour objectif d’avoir un impact environnemental positif et de contribuer au respect et au bien-être des populations locales et de leurs cultures traditionnelles.
Au passage, l’on pourrait dire que l’écotourisme constitue un « pléonasme » dans la mesure où il devrait être la règle ! Ceci dit, identifier une activité de type écotouristique n’est pas chose aisée. Des professionnels du secteur touristique l’utilisent aussi comme manière d’allégation comme le relève Jean Pierre Giotard chargé de recherche du pôle Tourisme de l’Université de Paris III (Ainsi, participer à une randonnée dans la forêt équatoriale, est-ce écotouristique si, entre les étapes, les touristes sont véhiculées en 4x4 ? A contrario, pourquoi ne pas comptabiliser dans ce secteur les personnes qui font du ski de fond ?)
Il reste que si nous sommes de plus en plus nombreux à vouloir occuper notre temps libre sans trop détruire la planète, tirer profit des inégalités nord-sud ou piétiner la culture de l’autre, cette façon de voyager concerne encore peu de gens et touche principalement les catégories financièrement et culturellement aisées de la population. Rappelons ainsi les résultat d’une récente étude commandée par le journal La Meuse mettant en avant un nouveau phénomène: le recours croissant des Liégeois au crédit à la consommation désormais proposé par les agences de voyages en matière de financement des vacances. Notons également que pour les plus défavorisés, cet accès aux vacances n’est pas de mise, voire sanctionné par les CPAS maniant parfois l’arme de la suspension du Revenu d’Intégration Sociale (RIS) en cas d’absence de plus de 3 semaines du territoire national... Pour les uns, le turbo-consumérisme et les pièges du surendettement; pour les seconds la stigmatisation parfois, l’impossibilité financière souvent!
Du global au local: moraliser le secteur, refinancer les organisations de loisirs populaires
Sans doute, à l’image de ce qui s’est produit dans l’agriculture biologique, faudrait-il que les gouvernements développent des normes et une réglementation spécifiques pour organiser et « moraliser » le secteur. L’écotourisme est une forme de tourisme qui est à inscrire dans une démarche écoresponsable. Dans cet esprit, il est sans doute nécessaire de réfléchir à la mise sur pied d’une gouvernance mondiale dans ce domaine. La création d’une agence ou d’une mission internationale du tourisme qui serait peut-être placée sous l’égide de l’Organisation des Nations unies (ONU) avec pour objectif l’examen des urgences et les priorités, sachant que les méthodes et les outils existent et que les objectifs sont désormais universels.
Par delà ces pistes d’action globales, la revalorisation du secteur des organisations proposant (ou envisageant) l’accès du plus grand nombre à un tourisme ecoresponsponsable à l’image des Auberges de Jeunesse mais également des mutualités semble être une piste locale pertinente. La création d’une agence nationale des vacances annuelles (liée à l’ONVA) développant, soutenant des projets d’écotourisme (pour toutes les bourses avec une attention particulière pour les bas revenus) et communiquant aux citoyens via des antennes décentralisées pourrait également constituer une piste de réflexion pertinente afin de réinjecter du sens et surtout, de la pratique à nos congés payés.
Pour vos vacances, retirez votre Passeport Vert!
Le Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE) a lancé, en mars dernier, une nouvelle campagne internationale pour apporter des conseils « verts» aux voyageurs internationaux. « Le passeport vert » a pour but de faire prendre conscience aux touristes qu’ils peuvent, eux aussi, contribuer au développement durable en optant pour des vacances responsables.
Cette initiative s’inscrit dans la mobilisation en faveur de l’accélération de l’évolution vers une consommation et une production durables née du Sommet mondial sur le développement durable de Johannesburg, en 2002.
Les conseils pratiques concernent toutes les étapes du voyage : de la préparation des bagages au retour à la maison. Le passeport vert encourage, par exemple, les touristes responsables à réduire la consommation d’énergie sur la route et à l’hôtel, et à acheter des souvenirs locaux et sans impact sur l’environnement. Bref, voyager vert semble à la portée de tous: Pour retirer votre passeport vert: http://www.unep.fr/greenpassport/
Par: François BERTRAND (Membre Ecolo Liège/Coordination) Localisation: Liège-République Libre d'Outremeuse francois.bertrand@agora.eu.org
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